photo LE BOND SOURD DE LA BÊTE FÉROCE - MICHAËL HALLOUIN

LE BOND SOURD DE LA BÊTE FÉROCE - MICHAËL HALLOUIN

Science et technique, Nature - Environnement

Le Collet-de-Dèze 48160

Le 07/06/2024

Spectacle de théâtre " Le Bon sourd de la bête féroce " joué par Michaël Hallouin (dès 14 ans ). Pouvons nous nous désintoxiquer du pétrole ? Un personnage et un acteur tentent une désintoxication avec de la science et de la poésie. Ils tracent une tangente entre hydrocarbures et chevalerie. Il y a (M) le personnage et (Michaël) l’acteur. Ne font-ils qu’un ? L’un circule vraiment en vélo pour se rendre sur les lieux de représentation. L’autre tente réellement de se désintoxiquer. Les deux semblent se débattre avec leurs contradictions et chercher une issue à rebours de la « stabilité dynamique » de nos sociétés modernes. L’être humain est-il condamné à l’idée du progrès et de son corollaire indiscutable « la croissance » ? Avec Le Bond Sourd de la Bête Féroce, la tentative est de se surprendre soi-même. A partir de l’histoire de notre addiction au pétrole, montrer la folie des injonctions paradoxales de notre monde, et désirer avancer vers l’inconnu. Prendre à contre-pieds les récits, les héros et les fins heureuses. Faire des pieds de nez au désespoir en arpentant notre folie. Spectacle co-accueilli à Le Collet-de-Dèze avec les associations Labo Rieuse, Nature et patrimoine,[...]

photo DE LA CRAU

DE LA CRAU

Nature - Environnement, Musique, Concert

Mont Lozere et Goulet 48190

Le 11/09/2021

Du Post Folk, c'est avec De la Crau le samedi 11 septembre à 20h30 ! Les amateurs de Dupain reconnaîtront aisément la voix du chanteur ! De l’enfer industriel de Fos-sur-Mer à la rive arlésienne du Rhône, la CRAU -dernière steppe d’Europe occidentale- fait le lit du réel. Des amas de rocaille, cette ancienne mer abandonnée en a roulé et en roule encore dans la furie du vent, et une voiture qui traverserait de part en part ce petit désert filerait droit sur des dizaines de kilomètres, dans des paysages qu’un Hopper ou un Walker Evans auraient rendu américains sans effort. C’est sur les fonds de cette mer bordée d’usines, assoupie dans la sobriété de son déploiement immense, que les trois musiciens de DE LA CRAU ont imaginé la bande-son de leur périple. Ils sont partis d’un chant qui éventre les cieux, auquel répondent en puissance et en poésie la contrebasse, les percussions et le déchaînement extatique de la mandole.